Selon la théorie de la métaphore conceptuelle, métaphores conceptuelles tiennent à la nature de nos interactions quotidiennes avec le monde, soit directement comme dans le cas des métaphores primaires, soit indirectement comme dans le cas des métaphores composés. En d'autres termes, ils ont une base expérientielle. Pour illustrer, de considérer les exemples suivants :

1. le cours des actions est en train de monter 2. , Elle a obtenu un score élevé dans son examen de ces énoncés fournissent des preuves linguistiques pour la quantité de la métaphore est l'élévation verticale (également connue comme plus haut): une lecture conventionnelle est liée à la quantité. (1) La phrase se réfère à une augmentation des prix des actions. (2) Elle se réfère à un résultat d'examen qui représente une valeur numérique. Bien que chacune de ces lectures est parfaitement classique, les éléments lexicaux qui fournissent ces lectures, va vers le haut et élevé, référence littéralement à la notion d'élévation verticale.

Selon George Lakoff et Mark Johnson, les architectes de la théorie de la métaphore conceptuelle, la quantité et élévation verticale sont souvent corrélées, et ces corrélations sont omniprésentes dans notre quotidien.

Par exemple, quand nous augmenter la hauteur de quelque chose il n'y a généralement plus de celui-ci. Si l'eau est versée dans un verre, que cela se traduit par une augmentation correspondante de la quantité d'eau et de la hauteur (élévation verticale). Selon Lakoff et Johnson, ce type de corrélation, dans notre vie quotidienne, donne lieu à la formation d'une association sur le plan conceptuel, qui se reflète dans les exemples de linguistiques.

Selon ce point de vue, métaphores conceptuelles sont toujours au moins partiellement motivés par et fondées sur l'expérience.